Le métier de Contrôleur de gestion

Le métier de Contrôleur de gestion

Le Contrôle de Gestion est apparu dans les années 20 au sein de grandes entreprises industrielles américaines dont General Motors. La question de départ était celle-ci : comment gouverner une grande entreprise en croissance et innovatrice, comment surtout centraliser les résultats des multiples unités ? Puis à partir de 1970 : l’environnement économique devient de plus en plus incertain. Cela a entraîné une évolution du métier de Contrôleur de Gestion qui devient davantage un « chef de projet de la performance ». On donne alors la définition suivante : le contrôle de gestion vise à confronter en permanence et à tous les niveaux de décision les résultats obtenus aux objectifs fixés afin d’acquérir la maîtrise du système pour une amélioration des performances. Ce métier évolue actuellement vers des fonctions de conseil et de communication.
Comment évaluer une formation ?

Comment évaluer une formation ?

Le plan de formation est très coûteux pour l’entreprise, l’évaluer favorise son optimisation. L’évaluation de la formation a pour but de mesurer l’efficacité des dispositifs mis en place pour les collaborateurs et les écarts entre les objectifs fixés par la formation et résultats effectivement obtenus. Et d'une manière plus large, s'assurer de la pertinence et de la rentabilité des actions de formation au niveau de l'entreprise. 90% des entreprises évaluent la satisfaction des participants à l’issue d’une action de formation, mais très peu sont celles qui ont recours à des retours d’expérience plus complets. Manque de temps, choix des indicateurs, compétences limitées… De nombreuses raisons expliquent la réticence des entreprises à mettre en place d’autres types d’évaluation.
Test communication PNL : les messages contraignants

Test communication PNL : les messages contraignants

Ce sujet entre dans le cadre de la communication "PNL : Programmation Neuro Linguistique". Le courant de l’analyse transactionnelle a identifié 5 drivers ou « messages contraignants » qui sont des injonctions implicites et explicites que nous transmettons à nos proches, collègues, subordonnés. Ils prennent la forme de recommandations très fortes que l’on emploie pour faire passer un message, comme des “slogans” publicitaires répétés quotidiennement. Ces drivers façonnent les actions et attitudes des personnes à qui nous les adressons. Ces drivers ont une valeur éducative mais peuvent avoir un effet pervers quand ils deviennent les seuls messages passés, quand ils sont répétés de manière rigide, quand la personne ne peut plus s’y soustraire pour exprimer sa propre personnalité, pour faire des choix et exercer sa liberté personnelle. Les drivers peuvent devenir tyranniques s’ils deviennent compulsifs et engendrent de la dévalorisation, des frustrations, de l’incompréhension. Nous-mêmes avons intégré certaines de ces injonctions dans l’enfance comme étant des réponses à la question : « Comment être aimé, apprécié, reconnu ? ». A l’âge adulte, ces messages deviennent des messages automatiques qui « nous parlent » à notre insu et nous font agir de manière un peu « robotisée ». Par ce test, il s’agit d’identifier vos propres messages contraignants et d’en contrebalancer les effets indésirables.
Les "Métavers" ou l'avenir d'internet

Les "Métavers" ou l'avenir d'internet

Un métavers (de l'anglais metaverse, contraction de meta universe, c'est-à-dire méta-univers) est un monde virtuel fictif. Le terme est régulièrement utilisé pour décrire une future version d'Internet où des espaces virtuels, persistants et partagés sont accessibles via interaction 3D. L'étymologie du mot nous renseigne fort bien sur sa signification. « Méta » signifie « au-delà » et « vers » désigne le mot « univers ». Nous obtenons donc « au-delà de l'univers » ou « univers parallèle ». Qu’est-ce qu’un Metaverse ? Cette question peut sembler étrange, mais la plupart des gens n’en ont jamais entendu parler. On peut remplacer cette expression sans trop d’erreur par « cyberespace ». L’écosystème du métavers doit permettre aux utilisateurs de « vivre », via leur avatar, dans un domaine autonome, persistant et partagé. L’interaction sociale humaine sera d’ailleurs l’élément central du métavers. Il faut toutefois bien comprendre qu’il ne s’agit pas d’un jeu et qu’il ne sera pas la propriété d’une seule entreprise. Il faut réellement imaginer le métavers comme un Internet mondial, mais en 3D, où tous les services et outils d’informations et de communication seront interopérables et offriront une expérience utilisateur complètement immersive. Il sera possible de travailler dans ce métavers, mais aussi d’assister à des concerts ou de profiter d’autres loisirs, tout comme dans le monde réel.