Damian Elwes consacre sa vie et son art à nous inviter dans les ateliers d’artistes de renom.Tel un détective, il visite des lieux, recherche des témoignages, des photos, des films, des indices… il se met dans la peau des maîtres des lieux. Pour Damian Elwes, la façon dont un artiste place ses choses en dit autant sur lui que sur sa peinture. Il s’imprègne de leurs univers et évoque au travers de ses tableaux l’artiste absent. Damian Elwes conserve néanmoins son propre style en utilisant des palettes typiques des artistes et de leurs œuvres. Il est probablement la seule personne dans le monde à avoir visité et peint la quasi-totalité des ateliers de Picasso et Matisse en France.

Rappelons tout d'abord ce qu'est la modélisation linéaire. Soit un nuage de points, on recherche une droite, appelée : « droite de régression linéaire », qui permet d’expliquer le comportement d’une variable y comme une fonction affine : y = ax + b d’une autre variable x. La droite a pour pente ou « coefficient directeur » le réel a. La fonction "pente" est très utilisée en gestion et elle est étudiée dans l'unité UE08 : Système d'Information et de Gestion du DCG : Diplôme de Comptabilité et de Gestion.

L’Art de la guerre (littéralement : « Méthodes militaires de Maître Sun ») est un court traité de stratégie militaire chinois, datant de la période des printemps et automnes c'est-à-dire une période allant d'environ 771 à 453 av. J.-C. Attribué au stratège Sun Zi (littéralement : « Maître Sun » ; souvent appelé « Sun Tzu » en Occident), le texte s’articule autour de treize chapitres consacrés à l’analyse rationnelle des différentes dimensions de la guerre et qui dégagent les principes de la poursuite intelligente d’une guerre victorieuse : fondée sur une stratégie indirecte, toute d’économie, de ruse, de connaissance de l’adversaire et d’action psychologique. Remplacez le mot « ennemi » par « concurrent », le mot « campement » par le mot « marché », le mot « soldat » par « salarié » et ce livre de stratégie militaire se transformera en livre de stratégie d’entreprise.

Après les stylos à bille, les briquets, une tentative échouée dans le parfum, c'est dans le téléphone mobile que se lance la firme française BIC en 2008. Le concept reprend les traits des succès de Bic : un téléphone simple d'utilisation, immédiatement utilisable et puis jetable (ou rechargeable).