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Dans un article de 1956, George Armitage Miller, du département de psychologie de l’université de Princeton, pionnier de la psychologie cognitive, expliquait que la mémoire à court terme d’un humain ne peut mémoriser que 7 éléments, plus ou moins deux (donc de 5 à 9 éléments).

Le seuil de rentabilité « SR » représente le chiffre d’affaires minimum qu’une entreprise doit réaliser pour, qu’à ce niveau de chiffre d’affaires, il n’y ait ni bénéfice ni perte. On parle aussi de chiffre d’affaires « critique ». Ainsi le chef d’entreprise dispose d’un objectif à atteindre. Il a normalement conscience qu’il commencera à générer des profits qu’à partir du moment où il a réalisé le chiffre d’affaires correspondant au seuil de rentabilité. Autrement dit, le but n’est pas de se cantonner à un chiffre d’affaires mais de générer davantage que ce chiffre d’affaires minimum. Le seuil de rentabilité est un ratio fréquemment utilisé dans le cadre d’une reprise de société. Pour calculer le seuil de rentabilité : il faut décomposer les charges de l’entreprise en fonction de leur nature : - les charges fixes, - les charges variables.

Le paradoxe d'Abilène est une illustration de la difficulté d’un groupe à prendre une décision et gérer collectivement son accord.